J’en parle souvent, le blog culinaire de Valérie, c’est ma fournée, est devenu mon repère de recettes! Je ne tente jamais les entremets et autres recettes de pâtisserie qui me demanderaient trop de temps mais j’adore tenter « la pâtisserie du dimanche » qu’elle propose, cakes, gâteaux pour le goûter! Ces dernières semaines, j’ai réalisé, la tarte à l’oignon, la galette des rois (celle d’Olivier Bajard!), plus réussie la deuxième fois que la première car j’ai du ajuster la cuisson dans mon four. Ce weekend j’ai réalisé avec l’aide de ma grande THE recette de cookies au chocolat; Inratable (je pense) et super savoureuse.

La recette est à retrouver ici « The outrageous chocolate cookies »

J’ai hésité à me lancer dans cette recette, car je manque un peu d’équipement et de matières premières aussi, voici les ajustements réalisés:

• Je n’ai pas encore investi dans du sublime chocolat Valhrona (mais c’est en projet!). J’ai donc utilisé du chocolat pâtissier classique Nestlé en version « corsée » pour que le cacao soit plus concentré (66% je crois).
• Pour faire des chunks de chocolat, J’ai simplement utilisé ma planche à découper et taillé chaque carré en 4 ou plus avec l’aide d’un couteau.
• Pour le sucre, je n’ai utilisé que du sucre en cassonade car je n’avais plus que ça!
• Enfin pour mélanger et blanchir le mélange de pâte comme je n’ai pas de robot je me suis servie d’un batteur (le résultat était parfait même si ma pâte était, je crois, plus épaisse que celle de Valérie, peut-être est ce l’utilisation du sucre cassonade qui crée cela…?)
• J’ai réalisé moins de cookies que proposé dans la recette, 9 par plaque donc 18 au total. Je les ai sans doute faits plus gros (=cookie monsters!)
• Je n’ai pas de plaque perforée donc j’ai simplement utilisé ma plaque de four recouverte par du papier suflurisé de cuisson.

J’ai respecté scrupuleusement la durée de cuisson et toutes les autres instructions données.

Et voilà! Tadam! Ils sont vraiment délicieux, coulants à la sortie du four, je les trouve encore meilleurs le lendemain… Encore faut il qu’il en reste!